J.-C., puis sa rivale Larsa au XIXe siècle av. Il vient du grec « Mesopotamía » [ « meso » – « milieu, entre » et « potamos » – « fleuve »]. J.-C. Après une période obscure mal documentée au milieu du IIe millénaire av. Son règne s'achève par son assassinat, par un de ses propres fils, mais cela n'empêche pas son successeur désigné, Assarhaddon (681-669) de prendre le pouvoir après une courte guerre civile. D'un autre côté Zimri-Lim dirige son royaume depuis son imposant palais royal, avec une administration palatiale reprenant les habitudes des royaumes antérieurs de la région, avec notamment un vaste domaine agricole à sa disposition. Les règnes d'Assur-dan II (934-912) et Adad-nerari II (911-891) voient l'Assyrie entreprendre son expansion face aux royaumes araméens, en mettant progressivement en place une pratique de campagnes systématiques contre ceux-ci, se soldant par des sièges de forteresses, des pillages et des prélèvements de tributs. De cette période date une remarquable tête de roi en alliage cuivreux d'un souverain, réalisée à la cire perdue, mise au jour à Ninive. Bonjour, Je suis à la recherche d'un livre pas trop compliqué mais très bien détaillé et un ouvrage assez récent sur l'histoire de la Perse depuis l'Empire Achéménide ou … J.-M. Durand, « Unité et diversité au Proche-Orient à l'époque amorrite », dans D. Charpin et F. Joannès (dir.). En tout cas le chef des eunuques Sîn-shum-lishir prend le pouvoir, ce qui suscite contre lui la révolte d'un autre fils d'Assurbanipal, Sîn-shar-ishkun, alors en Babylonie, allié à un gouverneur local, Nabopolassar. J.‑C. Dans l'architecture palatiale et sacrée, la structure caractéristique de la seconde partie de la période parthe (à partir du Ier siècle de notre ère) est l’iwan, un porche voûté dont un côté ouvre sur une cour (attesté à Nippur, Abu Qubur, Assur, Hatra)[224]. Mais il est impossible de remonter plus haut dans le temps. Cette opposition Sumer/Akkad provient des dénominations de ces langues durant les périodes suivantes de l'histoire mésopotamienne, puisque rien n'indique comme ces langues étaient appelées à cette époque. Cette époque correspond à la période d'Obeïd finale (v. 4400-3900) et à la « période d'Uruk » (v. 3900-3000), tandis que pour le Nord on a pu proposer l'existence d'une « période de Gawra » grossièrement contemporaine (v. 3900-3000). 26 avr. Salmanazar III intervient ainsi pour aider Marduk-zakir-shumi (854-819) à régler un conflit successoral, et durant sa campagne il vainc plusieurs principautés chaldéennes qui avaient gagné en puissance. Musée du Louvre. Statue d'Idi-ilum, šakkanakku de Mari, musée du Louvre. La séquence âge du Bronze-âge du Fer reste structurante pour la périodisation du Proche-Orient ancien, même si dans les faits le travail de ces métaux ne devient que tardivement répandu durant l'âge auquel ils ont donné leur nom. Half shagreen, spine adorned with gilt fillets. Pergamon Museum. Le roi de Babylone s'attache à assurer sa domination à l'ouest à plusieurs campagnes, en Cilicie, contre les tribus arabes mais surtout au Levant, même s'il ne parvient pas à déloger les Égyptiens de Gaza, et doit affronter en 598 la révolte de Juda, qui se conclut par la prise de Jérusalem l'année suivante et la déportation d'une grande partie de la population locale, avec son roi Joachin. J.-C., avec les données topographiques issues des fouilles et du texte Tintir. Perle en agate vouée au dieu-lune Nanna par le roi Ibbi-Sîn. On dispose par exemple de près de 100 000 tablettes administratives datant de la troisième dynastie d'Ur[6] (2100-2000), mais celles-ci ne proviennent guère que de sept sites archéologiques différents, et datent essentiellement de la fin du règne de Shulgi et des règnes de Amar-Sîn et Shu-Sîn c'est-à-dire réparties sur une quarantaine d'années alors que la dynastie a été au pouvoir pendant un siècle[6]. Tablette relatant la huitième campagne de Sargon II (714 av. J.-C., ce qui est souvent interprété comme le fait qu'il soit son vassal. Empreinte du sceau-cylindre d'Ibni-sharrum, scribe de Shar-kali-sharri, chef-d’œuvre de la glyptique akkadienne. ), qui sont unifiées à deux reprises à la fin du millénaire par deux « empires » : l'empire d'Akkad (v. 2340-2190 av. By Gholam-Reza Kian. La dernière modification de cette page a été faite le 12 janvier 2021 à 14:22. Ces empires sont tous d'origine « étrangère » (iraniens ou grecs) du point de vue mésopotamien, à la différence de ceux de l'Assyrie et de Babylone, mais ils s'inscrivent dans leur continuité directe[203]. Fragment de plaque en pierre : scène de banquet et de pêche. J.-C.. Mais les groupes araméens consolident progressivement leurs bases et évincent les Assyriens de la majeure partie de la Djézireh à partir de la fin du XIe siècle av. C'est durant le Xe millénaire av. Musée des Beaux-Arts (Boston). J.‑C., avec en particulier le développement de petites agglomérations dans les zones mieux arrosées de la Haute Djézireh (triangle du Khabur, Balikh), mais sans que la région ne semble pour autant retrouver les niveaux d'urbanisation du milieu du millénaire précédent. J.-C., notamment face à Thoutmosis III, puis contre les Hittites qui remportent d'importantes victoires à la fin du XVe siècle av. Mais une autre lecture, insistant sur le poids croissant de la hiérarchie et des inégalités entre les personnes et les maisons qui deviennent une donnée sociale fondamentale, voit plutôt cette période comme caractérisée par une appropriation de plus en plus marquée de la production par les élites et institutions dominantes au détriment des autres acteurs sociaux et économiques[58]. J.-C.), ensuite les Parthes arsacides (141 av. Cette expansion des traits culturels obéidiens a pu être diversement interprétée : l'explication par des migrations est abandonnée, on y voit plutôt la diffusion d'un système idéologique provenant du Sud, ou la preuve d'une plus grande intégration régionale[47]. Ces routes sont apparemment bien entretenues et émaillées de poste de garde et de ravitaillement. Ce royaume est dirigé par des Hourrites et domine des régions dont cette ethnie constitue une part importante de la population[147]. Unit 345 Cette ville est en tout cas la plus grande de la Mésopotamie antique : près de 1 000 hectares, peut-être 100 000 habitants. Elles sont directement suivies par le début du Dynastique archaïque (DA I, v. 2900-2800 av. Ce peuple est manifestement arrivé en Haute Mésopotamie depuis le Nord (peut-être les régions au Sud du Caucase) et attesté dans la région depuis la seconde moitié du IIIe millénaire av. est une nouvelle période de crise au Moyen-Orient, avec l'effondrement des grands royaumes et l'arrivée de nouvelles populations, en premier lieu les Araméens qui investissent aussi bien la Haute que la Basse Mésopotamie au début du Ier millénaire av. Tombes royales d'Ur, British Museum. Mais lui et son fils Mursili Ier (1600-1585 ou 1620-1590) concentrent leur effort contre le royaume de Yamkhad, qui est finalement détruit par le second. British Museum. Puis à l'empire de Babylone. (Chalcolithique tardif 2 et 3) est une étape décisive dans la complexification des sociétés, le creusement des inégalités sociales et l'intégration politique. La Babylonie profite aussi de la reprise des relations internationales, notamment de l'afflux de l'or égyptien, ce métal devenant pour un temps l'étalon des échanges, et des marchands babyloniens sont attestés au Levant, en Égypte et en pays hittite[155]. En Mésopotamie les royaumes secondaires, vassaux des plus puissants, sont progressivement éliminés au point qu'il ne reste à la fin de la période que l'Assyrie et Babylone, processus de concentration politique qui consacre la division Nord/Sud de la Mésopotamie, qui n'a pas d'équivalent au Levant et en Anatolie qui restent fragmentés politiquement, et aussi un processus de territorialisation des entités politiques, moins attachées à une cité d'origine et plus à un territoire, respectivement l'Assyrie, le « Pays du dieu Assur », et la Babylonie, appelée Karduniaš par les Kassites. Elles ont avant tout porté sur les secteurs monumentaux des grandes cités antiques (temples et palais) et également à plusieurs reprises sur des espaces résidentiels, tandis que plusieurs prospections archéologiques ont étudié les phases d'occupation antiques de différentes régions de l'ancienne Mésopotamie. J.‑C. Les villes de Babylone et Uruk restent importantes et ont livré une documentation cunéiforme importante pour cette période, témoignant de la continuité des cultes de leurs grands temples, et de leurs élites locales. Mais lors de leur consolidation elles ont constitué de véritables royaumes sur le modèle hérité de la période antérieure, et participé à un renouveau urbain de la région après une période de déclin de l'habitat, réaménageant certains sites anciens pour y ériger de petits centres fortifiés, dont l'exemple le plus représentatif en Haute Mésopotamie est Tell Halaf, citadelle carrée avec un complexe monumental disposant d'un bâtiment palatial daté du règne du roi Kapara (IXe siècle av. Le royaume apparaît comme dominé par une élite d'origine kassite, exerçant notamment les fonctions militaires et dirigeant d'importants domaines. Les sources permettant de reconstruire l'histoire de la Mésopotamie antique proviennent pour la grande majorité des fouilles des sites archéologiques de cette région, qui ont débuté à partir du milieu du XIXe siècle et se sont prolongées depuis, quoi que très difficilement dans les décennies récentes en raison des troubles politiques affectant l'Irak depuis 1991, et la Syrie (pour sa partie orientale, correspondant à la moitié est de la Haute Mésopotamie) depuis 2011[1]. ... Histoire de la Mésopotamie et de la Perse Anónimo. Le règne de Hammurabi est essentiellement connu pour son Code de lois, en fait une longue inscription à sa gloire, commémorant son rôle de « roi de justice », et édictant un ensemble de préceptes à suivre face à des cas précis, fonctionnant donc aussi comme un traité juridique à l'intention des institutions judiciaires[132]. Jarres peintes de la période de Djemdet Nasr, provenant d'Ur et d'Al-Aïn (Émirats Arabes Unis). Pergamon Museum. On y note des traces significatives du tout début de la domestication des animaux et des plantes, peut-être 10 000 ans av. J.-C., Babylone. J.-C.) à la déesse Ishtar, à Uruk. Ces derniers sont à partir du milieu du IIe siècle av. Les textes mentionnent quelques villes, surtout parce qu'elles sont situées sur les routes principales de l'empire : à l'est Arbèles et Lahiru (localisation inconnue, entre le Zab inférieur et la Diyala), à l'ouest Thapsaque (localisation inconnue), point de passage sur l'Euphrate entre la Méditerranée et la Mésopotamie. Collier en or et pendentifs symbolisant des divinités trouvés dans le « trésor de Dilbat », fin de la période paléo-babylonienne. J.‑C.) Si la Basse Mésopotamie reste une région riche dans ces empires, en revanche la fin des royaumes proprement mésopotamiens signe la fin de l'antique culture mésopotamienne qui disparaît durant ces siècles, avec son écriture cunéiforme caractéristique, et est largement effacée des mémoires jusqu'à sa redécouverte au XIXe siècle. 1. J.-C., Assur-dan II (934-912) et Adad-nerari II (911-891) sont en mesure d'entreprendre des campagnes plus ambitieuses contre les Araméens, qui ont donc eu l'ascendant un peu moins d'un siècle. J.-C. et devient alors le principal point d'ancrage de la domination parthe dans le Nord alors qu'Édesse est passée sous la coupe des Romains. Comme l'ont démontré l'assassinat de Sennachérib, la difficile prise de pouvoir d'Assarhaddon, et la révolte de Shamash-shum-ukin contre son frère Assurbanipal, l'empire assyrien même au faîte de sa gloire est marqué par des intrigues au sein de la famille royale qui menacent sa stabilité, et cela se confirme après la mort d'Assurbanipal. S'ensuivent des querelles successorales qui divisent le royaume du Mittani entre deux braches rivales dans la seconde moitié du XIVe siècle av. Au nord, c’est le royaume de Mitanni qui domine, bientôt évincé par le royaume assyrien. Ce sont des centres de provinces ou districts ruraux, administrés depuis des palais aux mains de gouverneurs assyriens et de leur administration, dirigeant des dépendants exerçant essentiellement des activités agricoles[164]. J.-C.. Copie d'une tablette du Code de Lipit-Ishtar d'Isin, mise au jour à Nippur. J.-C.). Histoire et description de tous les peuples. La longue culture d'Obeïd (v. 6500-3900), originaire du Sud mésopotamien, est le premier complexe culturel à englober à peu près toute la Mésopotamie. À l'est, pas de trace de crise non plus. Histoire de la Mésopotamie et de la Perse; Menu. Grande tablette d'inventaire d'une institution : bilan annuel d'une exploitation agricole, règne d'Amar-Sîn, musée du Louvre. Les derniers siècles du IIIe millénaire av. Les sites anciens de la région sont donc enfouis sous le limon ou les eaux maritimes[37]. Plan de l'Ekur, temple d'Enlil à Nippur : 1. J.‑C. J.-C. et ont connu d'importants bouleversements politiques et des mouvements de populations qui sont encore mal compris. En revanche elles affectent sans doute moins la vie des communautés rurales, sauf s'il s'agit de temps de forte insécurité[26]. J.‑C., la transition entre ce millénaire et le suivant est marquée par un recul de l'influence de la Basse Mésopotamie, et la Mésopotamie et ses régions voisines sont marquées par l'émergence de plusieurs cultures régionales, dont les traditions se prolongent par la suite. Musée d'Archéologie et d'Anthropologie de l'Université de Pennsylvanie. L’empire d’Ur s’effondre à son tour, sous l’action des peuples Elamites et Amorrites. À part cela, l'impression qui ressort des quelques textes et de l'archéologie (d'un appui limité car la culture matérielle de la période dans cette région est mal définie) est que le Nord est une région quasiment pas urbanisée, où se trouvent surtout des communautés agricoles dispersées, ainsi que des groupes nomades arabes venus depuis les steppes syro-arabiques[210]. Le « disque d'Enheduanna » : scène rituelle, la princesse est représentée au centre, en deuxième position en partant de la gauche. Voir plus d'idées sur le thème mésopotamie, la mésopotamie, antiquité. J.-C.). British Museum. In: Revue des Études Anciennes.Tome 67, 1965, n°1-2. Les rois d'Akkad prennent aussi l'habitude d'installer certains membres de la famille royale à la tête de grands sanctuaires, le cas le mieux connu étant celui d'Enheduanna, fille de Sargon, grande prêtresse du dieu Lune Nanna à Ur, et à qui la tradition mésopotamienne a attribué la rédaction de textes littéraires en sumérien. British Museum. En 539, c’est la période Achéménide qui débute et dure jusqu’en 331. Achat Histoire De La Mésopotamie Et De La Perse à prix bas sur Rakuten. En inventant l’écriture, ainsi que la roue, les Sumériens venaient de créer les prémices de notre civilisation. J.‑C. Les datations pour les phases protohistoriques reposent sur la datation absolue au carbone 14 calibrée, secondairement sur la dendrochronologie[23]. customizable off canvas area. Tout a débuté par une querelle de succession à la cour de Perse. Ils sont implantés surtout dans cette région, mais aussi le Nord-Ouest de la Babylonie, organisés eux aussi suivant un principe tribal (des « Maisons », Bīt(u)), mais sont des populations d'agriculteurs sédentaires, disposant de villages et d'établissements fortifiés servant de capitales à leurs principautés. Des populations parlant le hourrite sont également déjà présentes dans le Nord de la Mésopotamie et de la Syrie à cette période, sans doute originaires de Transcaucasie. Après le développement des premières formes étatiques dans la seconde moitié du IVe millénaire av. De fait, alors que sa culture matérielle est homogène, les textes indiquent que la Basse Mésopotamie du IIIe millénaire av. Tablette des archives des marchands assyriens exhumées à Kültepe : compte-rendu de procès. J.‑C. Elles sont ensuite unifiées par la troisième dynastie des rois d’Ur qui vont ériger un nouvel empire. Le IIIe siècle av. En tout cas il semble bien que ces régions aient une organisation politique et une culture voisine, qui les différencieraient de Sumer[69]. J.‑C. des premiers États territoriaux unifiant la quasi-totalité de la Mésopotamie (les « premiers empires ») et enfin le Ier millénaire av. Ces observations sont parvenues jusqu'à nous grâce à une recopie effectuée au VIIe siècle av. Dans l'art (statues, stèles et glyptique) apparaît par ailleurs un personnage barbu portant un bandeau, représenté en combattant, chasseur ou bâtisseur, ce qui semble en faire une figure de type « proto-royal » (souvent appelé « roi-prêtre », quoi que son rôle religieux soit incertain). E: hello@themenectar.com, Les Douze Enfants de Paris de Tim Willocks, Débarquement | Jour J | D-Day | 6 juin 1944. J.-C) commémorant la restauration de l'Ekur, grand temple du dieu Enlil à Nippur. La présence de l’homme est attestée en Mésopotamie depuis la préhistoire, c’est-à-dire à partir du Paléolithique moyen, au environ de 300 000 ans avant notre ère. L'obélisque noir de Salmanazar III, commémorant plusieurs de ses conquêtes. Exp�dition sous 24h. British Museum. D'autres mettent en avant les conséquences des conquêtes et destructions entreprises par les rois d'Akkad, ou bien les effets d'une surexploitation du milieu par les centres urbains. Walters Art Museum. Musée du Louvre. On sait que son centre était localisé dans le triangle du Khabur (la région appelée Hanigalbat à proprement parler), où se trouvait sa capitale, Wassukanni, mais celle-ci n'a pas été identifiée avec certitude (elle correspond peut-être au site de Tell Fekheriye (en)), et d'une manière générale cette période reste mal connue archéologiquement dans cette région, en dehors de quelques monuments (un vaste palais à Tell al-Hamidiya, sans doute l'antique Taidu, un palais et un temple à Tell Brak, un édifice palatial à Tell Mozan)[148]. Une autre ethnie apparaît également, les Chaldéens, dont les origines sont obscures : ils sont en général considérés comme une autre population d'origine ouest-sémitique, mais il pourrait s'agir de populations autochtones des zones humides de l'extrême-sud babylonien. Cette cité est un temps le suzerain d'Ebla, qui s'extraie ensuite de sa domination. J.-C., British Museum. 2500 Castle Dr Sceau-cylindre en hématite avec impression, représentant une scène de présentation d'un individu à une divinité, Musée des beaux-arts de Lyon.

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