LE COMTE. Lisez ce Littérature Discours et plus de 248 000 autres dissertation. LA COMTESSE. quand l'intérêt personnel ne nous arme pas les unes contre les autres, nous sommes toutes portées à soutenir notre pauvre sexe opprimé contre ce fier, ce .terrible... (en riant) et pourtant un peu nigaud de sexe masculin. plan commentaire le mariage de figaro acte 5 scene 3 informații importante sunt însoțite de fotografii și imagini HD provenite de pe toate site-urile web din lume. - Elle se respecte ; et mon honneur... où diable on l'a placé ! FIGARO, s'essuyant les genoux avec son chapeau. Insolents tous les deux ! Me crottant, m'échinant pour la gloire de votre famille ; vous, daignant concourir à l'accroissement de la mienne ! FIGARO. Approche-toi de moi, et crie bien fort ! Mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Un postillon de gazette ! Auteur du mariage de Figaro, comédie en 5 actes publiée en 1778, et qui constitue le second volet d’une trilogie mettant en scène le personnage éponyme (le barbier de Séville en 1775, la mère coupable en 1792). Quand je ne le saurais pas d'ailleurs, fripon, ta physionomie qui t'accuse me prouverait déjà que tu mens. SUZANNE. J'étais fou. On joue la ritournelle du vaudeville. Il le répète ! ... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! FIGARO. LE COMTE, riant. Qui vous estime beaucoup, madame. Voyons-le venir, et jouons serré. Figaro demande donc à Suzanne et à la Comtesse de déguiser Chérubin, ce qu'elles font dans cette scène 6 de l'acte 2. SUZANNE. J'ose en appeler à vous, jeunes infortunées que votre malheur attache à des Almaviva ! BAZILE me l'a remis de sa part. MARCELINE belle idée ! FIGARO. Monseigneur, j'étais tremblant derrière. Ne l'ordonnez pas, Monseigneur ! FIGARO. Las de nourrir un obscur pensionnaire, on me met un jour dans la rue ; et comme il faut dîner, quoiqu'on ne soit plus en prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question : on me dit que, pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s'étend même à celles de la presse ; et que, pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs. Taisez-vous donc ! NOUS, amis ! FIGARO. (Que mon coeur, mon coeur a de peine ! ) Ah ! Est-ce que j'ai cet air-là, Suzon ? Ah ! Où prend-elle ce qu'elle dit ? Je n'ai rien dit. 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FIGARO, sautant de joie. comte Almaviva leur a proposé de leur donner une chambre dans son château. FANCHETTE. Scène 2 Non ; mais cet homme absent qui doit l'entretenir ? On le dit. Quel soufflet ! Contenez-vous, on vient. Au tribunal le magistrat s'oublie, et ne voit plus que l'ordonnance. LA COMTESSE. Ursulines ! il s'est sauvé, je me suis troublée ; l'effroi général a fait le reste. Qu'entendez-vous par ces paroles ? Qu'oppo... qu'opposez-vous à cette lecture ? FIGARO, embarrassé, fouille dans ses poches et en tire des papiers. MARCELINE. A, a, o, oh ! (Il débouche une bouteille.) CHÉRUBIN. La petite cousine ! A Séville, le comte Almaviva déguisé en abbé - fait un monologue sous quels noirs apprêts fais-tu donc ? - (Au Comte qui sort. ) Je me joins à eux, monsieur le Comte ; et cette cérémonie me sera toujours chère, puisqu'elle doit son motif à l'amour charmant que vous aviez pour moi. Voilà que je suis plus bête encore que monsieur, moi. Ceux que tu as pressés d'y venir. FIGARO. LE COMTE. Dans les rangs même plus élevés, les femmes n'obtiennent de vous qu'une considération dérisoire. Silence. Mais, est-ce la personne du page, ou la conscience du seigneur, qui fait le tourment du dernier toutes les fois que l'auteur les condamne à se rencontrer dans la pièce ? BARTHOLO. Un jour vous marierai, Il est à toi : reprends ton bulletin, c'est ta dot. Le Comte alors ne pourrait nier... Avoir puni sa jalousie, et lui prouver son infidélité, cela serait... Allons : le bonheur d'un premier hasard m'enhardit à tenter le second. (Haut.) quand cela Serait, Suzon ? Assurément, monsieur ; si le fond des procès appartient aux plaideurs, on sait bien que la forme est le patrimoine des tribunaux. Le Comte et sa Suzanne se sont arrangés sans moi ? Si vous étiez plus raisonnable, il n'y aurait rien d'étonnant à ma question. LE COMTE. Et la Comtesse qui est incommodée, d'où le verra-t-elle, l'artifice ? C'est un plaisir assez piquant de les voir d'en bas au spectacle, dans le très plaisant embarras de n'oser montrer ni satisfaction ni colère ; s'avançant sur le bord des loges, prêts à se moquer de l'auteur, et se retirant aussitôt pour celer un peu de grimace ; emportés par un mot de la scène et soudainement rembrunis par le pinceau du moraliste ; au plus léger trait de gaieté jouer tristement les étonnés, prendre un air gauche en faisant les pudiques, et regardant les femmes dans les yeux, comme pour leur reprocher de soutenir un tel scandale ; puis, aux grands applaudissements, lancer sur le public un regard méprisant, dont il est écrasé ; toujours prêts à lui dire, comme ce courtisan dont parle Molière, lequel, outré du succès de L'École des femmes, criait des balcons au public : Ris donc, public, ris donc ! Elle porte au cinquième acte la lévite de sa maîtresse, et nul ornement sur la tête. Je te croyais plus fort en jugement ! LA COMTESSE, imitant le parler de Suzanne. LE COMTE, à part, Je vois qu'on lui a tout dit ; il épousera la duégne. Je vais me retirer aux Ursulines, et je vois trop qu'il en est temps. Quel affreux badinage ! ACTE II CHÉRUBIN. Sans oser jurer de rien. Sa-a complice ! LE COMTE. vous changez d'avis ? Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Acte V scène 7 (Commentaire composé) Introduction : Cette scène se situe dans l'acte de dénouement, le comte s'est rendu au rendez-vous envoyé par la fausse Suzanne et croît parler à Suzanne mais parle à sa femme. je n'en ai qu'une. L'HUISSIER, glapissant. Il est vrai, madame, je m'oublie. LA COMTESSE, tenant sa boîte à mouches. SUZANNE, à Figaro, parlant bas. Eh ! La scène 5 commence par un procédé théâtral traditionnel : … LE COMTE, radouci. BAZILE, à Marceline. Peut-être aussi que cela ne valait pas la peine. Est-ce donc là une vérité d'une conséquence dangereuse ? Cela m'inquiète bien, ma foi ! Elle s'y enferme. Moi et l'Amour. BRID'OISON. SUZANNE, CHÉRUBIN Il faut qu'il parte. plus blanc que le mien ! Un billet, voilà tout, pour de l'argent prêté. Votre servante, madame ; il y a toujours quelque chose d'amer dans vos propos. Cette Suzon qu'on croyait si vertueuse, qui faisait la réservée ! SUZANNE, faisant la révérence. Vous voulez quelque chose apparemment ? Boire sans soif et faire l'amour en tout temps, madame, il n'y a que ça qui nous distingue des autres bêtes. BARTHOLO, regardant le papier, vite. Cette acception n'est pas aussi défavorable que celle du courtisan par métier, et c'est l'homme dont parle Figaro. quoi donc ! S'il machinait quelque autre intrigue, il faudrait tout recommencer. Monseigneur me dit de crier. Tu prends de l'humeur contre la chambre du château la plus commode, et qui tient le milieu des deux appartements. Rosine, êtes,vous donc implacable ? La préf.. (Se contenant.) BAZILE. Une porte dans le fond va chez les femmes. SCÈNE 18 A Séville, le comte Almaviva - déguisé en abbé - fait un monologue sous les fenêtres de Rosine. Ah ! Ah ! Où est ton rendez-vous ? SCÈNE 10 Je ne suis point, comme l'on voit, l'ennemi de mes ennemis. SCÈNE 7 (Que mon Coeur, mon Coeur a de peine ! ) LE COMTE (Pendant qu'il parle, ainsi que Figaro, l'orchestre joue pianissimo.) BAZILE. Et Cherche à présent qui t'adopte. Non, monsieur ; C'est moi qui l'ai prêtée. Bon docteur, si vous me rendez à ma noble famille, mettez un prix à ce service ; des monceaux d'or n'arrêteront pas mes illustres parents. ANTONIO. L'AUTEUR. SUZANNE, première camariste de la Comtesse et fiancée de Figaro monsieur, qui songe à vous contrarier ? SUZANNE, timidement. Tout est jugé. les travers et les ridicules ? L'aveu de cet enfant aussi naïf que le mien atteste enfin deux vérités : que c'est toujours sans le vouloir si je cause des inquiétudes, pendant que vous épuisez tout pour augmenter et justifier les miennes. Il pleut des soufflets, Figaro. Je vais appeler. BRID'OISON, SUZANNE, ANTONIO, LE COMTE L'affaire n'est pas de mon ressort. Tu croyais, bon garçon, que cette dot qu'on me donne était pour les beaux yeux de ton mérite ? ah! Sortez, vous n'avez pas une minute. Le jour de son mariage ? Je sais God-dam. ses dames / Bazile est l’entremetteur). Est-ce ma noce avec Suzon qui vous attire au château ? Caractères et habillements de la pièce SCÈNE 4 ah ! MARCELINE, aigrement. Je dis que je sais God-dam. BRID'OISON. Ah ! mais, c'est Figaro ! FIGARO. Figaro réfléchit à un plan pour tromper le comte. Vous n'auriez pas été si émue, en le congédiant ce matin ; il serait parti quand je l'ai ordonné ; vous n'auriez pas mis tant de fausseté dans votre conte de Suzanne, il ne se serait pas si soigneusement caché, s'il n'y avait rien de criminel. MARCELINE, outrée. Ils allaient incendier don rendez-vous ! C'est donc de tout à l'heure ? SUZANNE, avec joie. Oh ! Deux, trois, quatre à la fois ; bien embrouillées, qui se croisent. Comment mon mariage éloigne-t-il du Château le premier page de Monseigneur ? Chérubin ! N'est-ce pas pour voltiger ? FIGARO. SUZANNE. Si les graves messieurs qui l'ont tant répété me font l'honneur de lire cette préface, ils y verront au moins que j'ai cité bien juste ; et la bourgeoise indigné que je mets à mes citations n'en fera que mieux ressortir la noble infidélité des leurs. Vos frayeurs aggravent son crime. pécaire ! Au moins je suis vengé, cela soulage. Une fenêtre s'ouvre de l'autre côté. Figaro et moi, nous voilà deux ; que peut-il donc vous arriver ? Quand Molière a bien humilié la coquette ou coquine du Misanthrope par la lecture publique de ses lettres à tous ses amants, il la laisse avilie sous les coups qu'il lui a portés ; il a raison ; qu'en ferait-il ? Moi aussi. écoutez donc, les gens qui ne veulent rien faire de rien n'avancent rien et ne sont bons à rien. LE COMTE. avec ses longues paupières hypocrites. UNE JEUNE BERGÈRE CHÉRUBIN, LE COMTE, LA COMTESSE Dans le pavillon à gauche, a-t-il dit. C'est bien dit ; mais comment ? Ce monologue répond donc à celui de l’acte I en reprenant des thématiques voisines, mais avec des tonalités plus sombres. FIGARO. LE COMTE. LA COMTESSE, assise Il se lève. Or, quand le déshonneur est public, il faut que la vengeance le soit aussi. BARTHOLO. Tarare, mélodrame en 5 actes, publié en 1787 (succès) Gaudeant bene nati. FIGARO. Mais il ne sera pas dit qu'un obstacle aussi sot aura retardé nos plaisirs. Au cours de cette cérémonie, Suzanne remet un billet au Comte lui donnant rendez-vous la nuit même, dans le parc. LA COMTESSE. BRID'OISON, à BAZILE. ce pauvre Comte ! (Du ton de voix de la Comtesse.) Elle détache le ruban. C'est bien dit, si cela se pouvait ! ... Étrangère, il devient bon pour les blessures ? MARCELINE. Et vous, me prendre au corridor. Le théâtre représente une salle du château appelée salle du trône et servant de salle d'audience, ayant sur le côté une impériale en dais, et dessous, le portrait du Roi. Que pendant l'absence de Monseigneur je vais vous envoyer le Chérubin ; coiffiez-le, habillez-le ; je le renferme et l'endoctrine ; et puis dansez, Monseigneur. Marceline lui saute au cou. LE COMTE. Vous, sa mère ! (Elle voit Figaro qui vient l'examiner ; elle fait un cri.) LA COMTESSE. MARCELINE. LE COMTE, FIGARO Il m'en a plus coûté de l'accorder que je n'ai de peine à le rompre : il n'en sera plus question.